Parfois la lumière inonde nos zones sombres, malgré nos absents.
Émotion suspendue dans les temps
Nos grands disparus si bruyants
sont embusqués dans nos cœurs battants
Malgré l’absence de vos mots, de vos mains
nous sommes tentés de poursuivre un chemin
Curieux de découvrir nos destins
Parfois alors on s’oublie à la vie
On se laisse divertir, échapper des sourires
quand d’un coup voilà qu’elle ressurgit
des profondeurs, cette vive douleur
Et après, on reprends le chemin
on s’accroche à d’autres mains
Et l’on se dit que c’est certain
ça ira beaucoup mieux demain …